Ouvre tes bras pour m’enlacer
Ouvre tes seins que je m’y pose
Ouvre aux fureurs de mon baiser
Ta lèvre rose !
Ouvre tes jambes ; prends mes flancs
Dans ces rondeurs blanches et lisses
Ouvre tes genoux tremblants…
Ouvre tes cuisses
Ouvre tout ce qu’on peut ouvrir
Dans les chauds trésors de ton ventre
J’inonderai sans me tarir
L’abîme où j’entre.
De chambley