Con’plices ?

De sa mémé elle voulait avoir des baisers..
Elle savait bien, maline, comment m’apprivoiser.
Me pointant à dessein ses chaleureux tétés,
Me demandant de l’accompagner boire le thé,

Je l’avais suivi, galant, sans faire d’histoire
(Sachant qu’après je lui sucerai les poires!)
Tout était parfait, biscuits petits napperons,
Et Mlle qui continuait ses effets de nichons.

Quand Mamie sortie, car le thé ça fait pisser
L’aguicheuse sur le divan me fit voir son con
Écartant sa fente brillante et empoissée
Alors que j’étais déjà raide comme un tronc

Sortant ma bête, lui pointe sur le siphon
Que, ni une ni deux, elle l’enduit droit jusqu’au fond,
Guettant le carillon de la chasse d’eau
Je la bourlingue, henissant comme un bardot.

Mais se le dire, on n’est jamais assez prudent !
Quand Mamie revint et compris l’arrangement,
Et dit de sa petite voix « oh les beaux roustons!
la belle pine charnue que tu as là, fiston ! »

Lorsqu’elle m’embrasse gouluement les roustons,
Une décharge me prends des couillons jusqu’au moignon,
Et dans sa petite fille hilarde j’explose !
J’avoue les baisers de mémé, c’est quelque chose…

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