Oh merveilleuse chatte laine
Que vous avez de belles mains
Que me vaut toute cette peine
De tant branler mon vil’brequin
Ho ma mie que vous avez de beaux yeux
Quand sur ma queue ils louchent
Perlant une larme priant dieux
Quand entier j’emplie votre bouche
Oh ma Louve que vous avez de belles dents
Est-ce pour mieux me mâlsticker, me mâcher ?
Mais il est bien tard pour devenir prudent
Alors que monte toute cette charge à vous décocher…
Et queue te raie pondre en corps
Quand la substance de tes figues moulées
Est si sève amant à d’elle livrée
A qu’homme ras vaginé ma rouge crevasse d’en l’haut
Et quand aux lèvres les firent sûres de prendre l’Ô
Toi le cavale y est de ma bouche…