Oh il eu pu suffire que je n’aime de toi
Que tes jolies tétines couloir de ma pine
Ton con baveux et ses lèvres toutes fines
Tes fesses charnues et ton cul très étroit.
Bien sûr il eu pu se faire que je n’aime de toi
Que ta bouche en cœur et tes grands yeux hagards
Tes lèvres chaudes sous tes cheveux en pétard
Coiffé par tes hoquets d’apnée teintés d’effroi.
Amour, je n’aurais pu seulement aimer de toi
Que ta marée moite au doux goût d’épice
Nos pédications héroïques en supplice
Pour mes couilles sonnant fort contre ton beffroi
Ne suffisait-il pas que j’aime être pour toi
Le vilain chantre de ton discret clitoris
De nos délictueuses passes hard complices
Et combattre avec toi le rugueux, le froid
Mais voilà je suis aussi tombé amoureux
De ta petite moue rose sous ton doigt coquin,
Disant au diable le tant qui passe vient
Alons nous dire encore des peaux aiment licencieux