La Peau est si monstrueuse

La Peau est si monstrueuse

 

( L’Or sue jet)

 

Nos peaux sont des monstres

Elles se battent taillent

En lisière des lièvres fous

Elles se gueulent dessus

A même bouche des goûts

Si miel et cuir remue glue

Peaux d’eau ragent

Et siège jusqu’en cerfs

Co-liés de gris feux

Ras passent nos gores jeux

Peaux si lentes scieuses

Bouges-y ton Satan

Au beau gué fumant

Les cas pistons d’enmêle usines.

A peau tu oses

Nos apeaux urticaires

Grouille aimants de vers

Fort amant l’a queutée

Loi si haut en langue

De pus ta chair y est

Je remonte le jus d’à vent

A dents de dos

Au frayé de l’os silo

cavale qu’à deux

Soeur sueur souricière

De ta nue clef aire

Peaux longer nos à mers

Phares à tôt triques

A crête de griffon et piques

Ton grand Thor ton loup ta Gaule

Dans le fouis-y de ma rigole

Je fais l’en tour de ton pal sombre

Tu ferres le nerf dans ma peau monde

Carnale nage en peau trouble

Roi de mon piranha et des serres garces

Tu Han ! Très ma peau historique

Antan de scie

Puis

En colle y maçon

Tortue tueuse

Tu graisses vite

Lâcher d’elle

Housse cave

Son homme et lie

Des monts ces trous tes cités

Ta mèche en ce Tartare

Nous met le feu d’en fer

Si ailes à la va ton vit

Fleurs veines haineuses

rendent plissent mon vase

Mâle rase cage l’ivre liesse

Vulve arums entonne le noir

Le fou l’abaissant

Bordée de jus ronds

L’a francs jets de blanc

Mon d’yeux va gitan !

Vois l’eux barris olé

Son éléphant des mères

Aux vents pires de nos sens

Grains de stupre et faction

De fesses rosses douze heurts

Taxis dermes au mètre

Et peignent hurlent

Le vol mécanique

Et les ruts sillons

 

Vient à l’or

Le sale an

Le poids vrai

Les si eux

 

Les douces heures

Sans les plus mots verts

Des Monstres

 

 

 

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