Sale’th’aise

Et tu me disais
Que tout dérappait
Que plus rien n’allait
Que la cuisine dégueulait,
Le vestibule s’embourbait
Et que oh je n’y comprenais
Vraiment rien au ménage, au nettoyage

Mais que là, finalement là, au repassage
Faire un foutu plis … dans un sens
Et puis encore un dans l’autre
Ce n’était, en fête pas si grave
Tant que le faire de lanque
Etait surtout bien chaud
Dur, doux, passé
à fond de sale,

Et que à tout prendre
Eh bien de la saleté finalement
Toi aussi tu en avais à revendre

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