D’à bords m’ah con peigner de bons heurts de ton vit noeud, tu le ferais ? Lorsque l’anus luit en corps de nos débords amants sombres… Tu m’arrangerai à droite, je prendrai ton gauche à la veuve queue l’y qu’hot poignée. Si je taille le gros doigt, au cep halte heure, tu me suce ras le suc râge mâle adroit amant ? Le sucre me colle et me dégoutte lime tout le long, telle amante je t’hard grippe la grappe bien mûrie au soleil. Est ce qu’il ne serait pas temps de nous dénuder jusqu’au der des der chai et de nous finir, fouler , faire de la mêle ass avec nos pieds ? la tête dans ta souche, m’offre ri raie tu ton jus de raisin ? la tête me tourne , je suis en ta feu ras terre niquée en pleine ivre liesse, à l’ombre d’une yack , ou bien de ton hot dur queue homme chêne, je crois bien avoir besoin d’une bonne sieste. Est ce que tu me lent Gil deux , amour ?
A toi …