Arist’hot

Sacré Aristote

Pendant que deux folles mahus
Goulues comme dix sangsues
Mordaient, mes boules mon cul
Je languais son con fendu

D’un doigt posé sur l’anus
Elle me dit, sans un hiatus
« Après le cunnilingus,
Tu me lèche l’eucaliptus !

Oh ma rousse mamelus
Oui Tu m’suce j’te suce
Et que je te monte dessus
Equus eroticus

Que t’enfilant bien au jus
Tout chaud de ton con toufu
Mon membre tout poilus
On largue ces mâles au trou

 

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