
- *C Q F D . La Marseillaise passée en revue citée, à fredonner sur la mélodie d’origine même si elle milite en l’air et que la pompe y est…
Mon tribut au noeud en grand esprit ouvert et selon mes valent heures à que tuent elles, parce qu’il arrive par foi que j’ai beaucoup d’ire-respect pour les champs meurtris d’hier d’aux paravents gores jets de sang des ils non sens. Enfin, ceci est aussi le petit clin de mon œillet noir bien appuyé à Jean ce Bougre , où que tu sois, Monsieur mi Jean se barre mi Jean si bourré, voici ma contre Eve aux lus sillons et je le reconnais, la basse vulgarité au feu ne me rira point de prérogatives aux lauriers mais plutôt des huées cependant il me plaît d’écrire et de chanter les jouissant blasphèmes que me confère mon état de féroce défonceuse de l’amour tout puissant plutôt que sa guerre.
On est prêtes les cigales ? Un, deux, trois , c’est parti
» Allons les femmes des parties
Le jour des glaires est arrivé !
Contre nous deux ils tirent Annie
Les tant dards se sont élevés
Et tant dames se foutent en lévrier !
Étendez-vous dans les campagnes
Surgis le feu rose au méat
Qui viennent jusque dans nos bras
Engorger nos femmes et nos compagnes.
Aux larmes citoyennes !
Soulevez vos jupons !
Sucez , fourrons
Qu’un foutre impur
Abreuve vos sillons !
(Bave au menton…)
https://www.youtube.com/watch?v=poyAG61oluQ
Sus à l’aine mise ! Bâillon net !
Fonçons, écartons, mise en joues !
Hardis hussards C’est la fête
Déchargeons comme des fous
Oh hum
J’ai ce champ de battage
L’ass sceau de cette mare
Si a l’aise qui me tourne
A rire et à sang !