
Ce qu’il y a de bien avec les mots, c’est qu’ils ont un sexe comme nous et ils se mélangent art dits amants pour faire des petits et prolonger leur espèce, sur la transmutation des arbres, nos amis.
Ne dit-on pas un pieu parfois pour désigner une bite qui est montée sur un gars ainsi qu’une moule pour l’assimiler au con qui orne le tendre rocher d’une garce. Ah … Tout ce qui nous vient sent queue nous l’ayons d’eux mandé !
Il n’y a que le fion final amants ou bien le trou du cul pour nous raie fugit, homme-femme femme-homme au lieu de toutes les bêtises des incantes d’essence unis-sexes.
L’entente tue bien, c’est de la misère en cordes que de se formaliser sur le genre des mots de l’amour…