Je sais bien oui que tu es ma vraie petite salope sacrée sucrée, ma grosse cochonne ludique, ma petite pute d’amour, ma traînée préférée, ma goulue lubrique et sauvage. Mais seulement sais tu que je te veux totale amante? Je te veux toute entière et au delà, femme femelle, femme Louve sous la lune, à quatre pattes, mes crocs dans ton cou, hurlante écrasée sur la steppe, débauchée, prise écartelée sur la croix entre le christ et mon chibre de molosse defroqué, que je te veux aussi femme homme, impossible hermaphrodite, totale mahu rae rae irrévérencieuse.
La prochaine fois que nous baiserons, je te foutrai, je te foutrai jusqu’au fond de ton cul. D’un coup, j’entrerai en toi en entier, sans ménagement, ton sang giclera dans tes artères, ton sang, ta lymphe, s’éjectera tout de ton anus, grimpera d’un coup dans tes seins, sur tes lèvres, montera à l’assaut de ta chatte de ton bouton fiévreux que j’aurais déjà pris soin de bien sucer, étirer, mâle mener. Tout le sang viendra à lui. Le mien dans ma queue, en entier planté dans la fournaise de ton cul, de tes entrailles mortifiées. Le tien se giclera, s’engoufrera en trombe dans ta petite bourse excroissante, dans ton petit bourgeon turgescent. Tes yeux révulsés le veront pousser grandir, s’enfler de l’intérieur. J’invoquerai le dieu membru, le règne de tout les satyres, j’etirerai la peau de ton con tant et tant que ton sexe encapuchonné ne pourra que prendre son envol, s’ebattre, battre la chamade pulsante de ton cœur et du mien entré en entier dans l’étroit de ta fronce rectale. Tes lèvres enflerons, ton sexe grandira. Je le branlerai avec tes doigts incrédules, je te branlerai quand les tiens n’y sufirons plus, avec la paume, la cale inflexible de mes mains. Et tu sauras et la douleur et le plaisir mélangé. Et lorsque ton sexe sera assez enflé, enflammé, allongé je pourrai alors commencer à te branler, te branler avec tes seins. Te branler dans la douceur de tes propres mamelles empoissé de salive. Les écraser les presser sans ménagement sur ta bite femelle. Et alors, pour que je puisse t’emplir encore plus, je te ploirai. Te ploirai toute, plantée que tu seras au bout de ma queue, je te ploirai pour que tu puisses te sucer, t’engloutir, sucer ta propre chair, te lécher ta hampe de chair ton propre gland epicé. Et alors seulement je commencerai à bouger, à pomper dans ton cul, à monter le feu, la pression dans tes bourses de lave. Les fourmis, les scorpions, les crotales commenceront à danser des couronnes d’épines dans tes reins. Et alors mon sexe dieu naja te mordra, te crachera un venin brûlant qui tournera en feu furieux le sperme bouillonnant dans ton ventre. Je te branlerai ta colonne, tout en te pompant le cul, j’etranglerai ton sang dans ton chibre, tu sera exsangue, un ange une merveille diaphane de pureté toute blanche, avec des cheveux rouges et un braquemard monstrueux de braise pulsante. Je te pomperai, et je te foutrai, fort, tout du long, jusqu’au bout et M dans ta chatte se fera vivant et te pistonera de toute sa longueur et de toute sa grosseur intransigeante. Et quand enfin le foutre explosera, s’ejectera de ses bourses prêtes à éclater, tu ne sauras pas mon amour, si c’est moi, si c’est lui ou toi qui déchargera. Tout explosera, tes reins, ton foie, ton cœur. Prise, étouffée engrossée que tu seras par ta bouche, par ton cul et ton con, tu ne sauras pas par où finira par sortir toute cette marée sidérale de foutre, merde fange, boue, et par où elle sera dispercer pour tous et pour le monde entier. Et alors enfin quand tout sera vidé, vidangé, jusqu’à la dernière goutte de plaisir, alors seulement tu pourras respirer, tu sentiras enfin ton sang revenir se vider, et ta bite devenir flasque dans ta bouche et entre tes seins, rapetisser et toi revenir à ta nature femme femme.
Mais et si seulement tu n’étais que ça mon amour, mais tu es aussi mon amoureuse de folie, mon soleil, ma joie vivante, mon amour taruhamara, mon ciel indigo, le chants des oiseaux le tout de ma femelle chamane, car tout ça ne serait rien si tu n’étais toute la joie de mon cœur accord.
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