Nue d’été

(ILL. David Agenjo)

Puisqu’elle était ainsi,

Était cela,

vagin rêveur et doux

Dans la pensée

La prairie humaine

De ses seins…

On remontait,

On faisait route

De la main,

Du regard

Vers les cuisses,

La forêt sombre,

Dans les avenues

Méditerranéennes du silence…

Claude de Burine – Recueil  » Le Passeur » – 1976

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