– Attends !
Hhff hhumpp, oui Hhhpff quoi ?
Tu n’as
pas entendu
des pas ?
– Heu…
Poussant sa queue tout au fond.
– Non !
Toctoc
« Bonjour! Il y a quelqu’un? »
– haaa chiotte
Retirant sa queue du fond. Entièrement..
– oui ! J’arrive.
– Amour, tu sais où est mon short ?
– là ! Non c’est le mien, là là ici sous la table
– ok reste là chauffe moi la place.
– Oui bonjour, c’est pour savoir si tout va bien
– Oh oui tout est parfait.
– Et pour le repas, vers quelle heure le voulez-vous?
– Eh bien comme vous voudrez.
– 19h30 ? 20h ? 20h30 ?
– Oui c’est très bien pas de problème..
– OK à tout à l’heure.
– mon amour comment tu trouves mon cul ?
– une pure merveille ma chérie, soyeux doux profond à souhait.
– oui c’est ce que j’ai de plus fort, tu sais, le plus gros muscle de mon corps.
– oh le plus vaille entre
– Hum mon en corps!
– Oh mon en vit
Lui, entrant poussant à fond.
Elle lançant ses antennes loin vers le ciel.
Lui maux du lent.
Elle stries du l’antre.
Lui pile se tonnant
Elle le re sceptre sillonnant.
– c’est…
– bon ?
– c’est..
– oui moi aussi..
– c’est, c’est qu’elle heure ?
– je ne sais pas..?!
– j’ai faim !
– Tu te rends compte que t’es dans mon cul et que tu me parles de manger là !
– oui tu me donnes faim, de tout.
– Dis tu crois qu’il y aura de la crème gentille ?
POINT de VUE CONTRAIRE de ta SOUS RIANTE , de ta SÉRIEUSE AMANTE
D’ abords premiers, délaisser les pommes Se gausser du cocotier, jus terre ta langue Ma gangue, ma lune, ta salive, un baume, Dans le baba, mon sésame est aussi à toi T’ouvrir ma fange serrée de mes dix doigts
Ces monts, ce trou, eux, Tu Ô cul peux ma place forte Et, fichée du buffet jusqu’à ta garde bouffer le drap, baver, buller, gémir dedans Tu me pousses au train je me lot queue émotive La si lance scieuse douleur Balistique de ton bois Vision d’un fer, rougi, Par-dessus mes pôles blancs Toi, Mercure ailé, Serres enfoncées, Cuisses écartées, juché sur mon cul Rapace chahutant sa faunesse En sabots écartelés Crissant les oreillers
« C’est quel heurt que tu envies chérie ? » – Ce Lui de mon fessier ma vie Que tu rebrousses à l’en vit Queue bien hot tu trousses la nuit de ta rousse détroussée, et Si haut que je sois assise Tu m’as fait le bien de ton ordalie De ton à doux bée amant me couronnant le croupion de ton glaive à Coeur de Lion
Si fourrée à la crème gent y lie Si baisée à la sauce en glaise, La broche en noeud, amour, Nous l’affaire en nous à la raie glisse ?