La forge de mes entrailles vives
Ta rapière sertie au bijou de ma vulve
Tant bourrée battante
Pulsation lente souple géante
Cette joie dans mon ventre
Et volutes ivres
La rue crénelée, ses inconnus, la cuve
Mystérieuse vierge incendiée
Dès que tu m’entres
Maître tuteur de ma panse
Outrée jusqu’aux yeux
Clôturés sur ton en vas y semant
Re con naissance, l’ âme en deux,
Ton élément éléphantesque
Cautérise ma caverne d’arabesques
Homme rude olfactif, tu flèches
Du bois mon nid de plumes
Je cueille sur ta voix
Nos cris d’écumes
Tu me fais, mêle, mâle si nu,
Rituels en toi diluée je viens
Et chante Gil en moi ton ADN