Que serait-ce si, jetant de rage sa monture,
Arrachant sa culotte l’air hagard, hébétée,
Elle crie « branle moi les selles, et mords moi les tétés ! »
Au diable cette selle! Je veux une tige bien dur ! »
Que serait-ce si, à la plage bombant ses nichons
S’étant mis de la crème partout dans le con,
Un doigt dans le sable, l’autre dans le fion,
Elle dise « ça rappe moins, mais c’est tout aussi profond ! »
Que serait-ce si demandant une ile flottante,
On ne lui servait une meringue sortie de couille,
Nageant sur sa coupe débordante de mouille,
Ma foi une infamie, une farce bien méchante !
Que serait-ce si avec son air sauvage
Après s’etre faite defoncer ramoner le troufion
Décharger des bariques de foutre au fond
Demandait qu’enfin on lui ravage le pucelage !
Que serait-ce si nue sur une baricade
Elle hurlait « Messieurs j’ai des anglaises en cascade !
Que les hardis me tirent les premiers et me broutent ! »
N’est-ce mieux que du plomb, de foutre on la foute ?
Que serait ce si sextant, une jeune pipelette
Demandait qu’on vienne la sucer et ramoner
Mais n’osait passer à son clito tout blette
Jouant pucelle, la ficelle du combiné…
Que serait-ce si, la baby-sitter, toute nue,
Se branlant avec un pied dodu du lardon,
Tout en s’enfilant le biberon dans le con,
Priait d’être enculée, de son air ingénu.
Que serait-ce si l’employée de la poste,
Ouvrant sa minette, disait « j’suis pas un timbre,
mais lèche moi bien et j’irai pas me plaindre !
Après, je veux que tes roustons me compostent »
Que serait-ce si l’étudiante en soquettes,
Levant sa jupe, montrant sa taille toute serrée
Disait « Pour ma ligne, pas de bonbons sucrés!
Moi, je préfère lécher du foutre dans les cuvettes !
Que serait-ce si la grande fille à lunette
Faisait échange de montrer son maryland,
Pour comparer ce syrinx à son magix wand
Et se faire pédiquer avant minou-minette.
Que serait-ce si en voyant ces folles sculptures,
Tu glissais ma bite loin dans ton trou de muse,
Juste derriere une tenture, l’idée m’amuse,
Et que ton cul, à mon vit fasse sépulture.
Oh que serait-ce si on pouvait à loisir,
Lécher, enfiler, baiser partout celle qu’on aime,
Plutot qu’enculer ses soeurs, c’est pas la même!
Avant qu’en terre notre pine … finisse par molir.
Une splendeur impudente amour, en passe de devenir le morceau de la reine, le choix du roi, mon préféré…
Une sir con stance où tu es en toute mise en selle, tu le sais.