Samedi,
Visiter D, se fumer les lèvres autour d’un petit noir serré. S’échanger des yeux … et puis le café, et puis les mignardises, et puis tout fini par se mélanger en bouche à bouche, se baver de la sienne à la mienne.
M guoguenard ce petit salopard contemple de loin.
Dimanche,
Venir faire la messe à D.
Elle me parcour en long
Je la en large et en travers.
Je la mie scelle elle me mis sel.
Je la sur léche, elle me sur suce,
je la fouis en langue en fond,
elle me saccage, me prépuce.
M qui restait sage, contemplait de loin, fini juste par se passer la tige, de son bouton à sa bouche, messager de ses humeurs, que nous nous partageons des ideurs gouluement.
Mais quand enfin, je n’en peux plus de ma bite trop ride. J’enfouche D et nous partons à brides abbatues, chevauchant la steppes sauvage, d’en bardées, en rue hards, martelant la terre aride à grandes encognées, jusqu’à l’abreuver de foutre et de mouille quand j’explose enfin dans son con brûlant, giclant aux quatres vents.
Lundi,
Nouvelle visite de cours toi s’y.
Ce jour la le désert n’étant pas fini,
la crême gentille passe de bouche en bouche,
de seins en fesses, de fesse en bouche,
de bouche en queue, de queue en cul
M s’active un peu plus. Pendant que je lèche D à grande lappées, il se couvre de crème, qui lui dégouline en glissant et en entrant dans le con de D. J’en profite la crème et le jus de D se coulant en rivière, se cascadant en pluie jusque dans ma bouche gourmande, sur ma langue fouineuse.
D me suce gaillardaimant jusqu’à la garde, me branle le pis, me goulute, me turlute, me vire volte haletante, me syphone tant et tant que mon lait irrupte, se jaillit, fort, gicle dans sa bouche, bouillonne dans ses râles ho’queuetés sous les assaults de M.
Nous nous affalons au milieu des éclairs, des tropéziennes ahuris, que nous finissons par nous dévorer tout crus, à même la peau dans le grand nettoyage des caresses.
Mardi
Ce jour là, un pique-nique est organisé dans la pinède.
M, ce galopin se joint à nous, mais reste peu enclin à se mettre au grand soleil. D et moi bronzons de nos mains, crissant de con serre avec les cigales. Nos seins se tordent se pressures. La forêt s’invite. Les mûres mures se mellent à nous, se jutent à nos jus, s’épépinent dans son con, sur ma pine, exfolliant ma queue dans le fut bouillant de D.
Elle me chevauche, je la rodéo,
je la chevauche, elle me culbute,
je la monte, elle se rut’hard,
je l’agripe, la levrette,
elles se chatte sauvage.
Ses seins s’écrasent dans les miettes, le jambon beurre, pendant que je lui pressure sur les lèvres, la bouche des doigts, un soleil de raisins, et sur les fesses un jus de fraises écrasées à grand coup de reins.
Je la bourre, la débourre, la déboite, la Louve sauvagement au fond des bois, Nous chantons le râle à lie, Nous giclons, crions, bramons, jouissons de concert.
De son con martyrisé, dégouline une chaude pluie d’été, que je cueille enfin dans ma langue arondie. C’est doux sucré, une merveille de jus vitàminet aux fruits, que je lui partage à bouche, collé à son flan.
Tout se finit en longues promenades de baisers perdus sur le pré carré de son corps allongé sur la nappe à carreaux du piqué-niqué.
Mer creux dit
Il fait mauvais humide, tout part rapidement à veut l’os. Nous décidons de partir en voyage. Je l’embrasse, elle m’embrasse, nos sexes coulent comme la pluie, de bave de mouille et de glaires opalines, à nous remplir ras bord les valises.
Nous partons dans les bois. Je lui fouis la bouche, mes doigts agrippés à l’automne, mes yeux perdus dans ses brumes.
Direction la mer. Elle m’abreuve, me lagune, me marrée, me moule aggripée sévère au rocher de mon crane.
Nos odeurs emplissent le pays, se mèllent à la pluie pour nous embaumer les sens.
M ne veut pas être en reste et veut venir en vacances avec nous. Il commence à fouir la bouche de D, pendant que je me goinfre de son bouton charnue. M se petit salaud,vient finalement se ficher lentement dans l’affut de D, écarté de mes doigts. Je le regarde s’enfoncer écarteler la chair de D, disparaitre en elle comme dans un four. Je le regarde commencé à la pistonner doucement, la chair de D se mouvant comme un animal marin autour de lui, entrant sortant dabord doucement puis de plus en plus vite, pendant que je lui lèche la motte, la plote partout, lui masse les pieds les jambes le cul, lui rappellant combien elle est belle de mes doigts se glissant dans son froncement, de ma voix se vibrant sur son con. D part en vrille, en trille, se tremble, se disloque se jute se lave de M dans son fut et de moi sur ses lèvres.
M n’aura pas le dernier mots, je prend D dans mes bras collé allongé contre elle, reprend les rènes de ses seins de son ventre, et viens menfoncer dans ses feuilles encore tremblantes sous le vent de nos attentions conjuguées. Elle est de lave brute, brulante, ma queue fond se dissous se dilate se martèle se forgeronne se tisonne dans sa chatte. Je la remonte en pente raide sa chauffe, ça craque, nos reins s’échauffent, nos peaux se brûlent, nos os se choquent je lèche sa jambe écartelée, ses oreilles, ses épaules sa bouche tordue, tout vire au rouge. J’allume ses seins, enflamme ses aréoles, les pointes en avant éclairant la route en zigzag. D repart en fusion, en dérapage se démonte sur ma queue, se liquéfie ralant dans ma bouche des mots incompréhensibles. J’évite de justesse la sortie de route, l’accident nous ne sommes pas encore arrivés. Du moins pas moi.
Je me dégage un peu hébété, tout gluant lui laissant le répit de mes doigts. Dehors il pleut toujours. Cherchant un itinéraire bis, mon sexe se colle à son étoile déjà toute engluée. Je la laisse glisser sur moi du fond de ses limbes. Je la laisse revenir et pousse tout mon vil brequin dans son étroitesse, mon gland se prisonne à son anneaux et continue doucement dans la nuit d’été de son ventre. Nous reprenons la route en douceur, mais je suis déjà en surchauffe, elle ne tarde pas à me mettre en detresse, déliant le peu de maitrise qu’il me restait. la jauge vire au cramoisi, je hoquète, titube, coule une biele, jusqu’à ce que le vase d’expansion explose litéralement, libèrant mon foutre en ébulitions tout au fond de son cul.
Jeux dits
Tout est permis … Quel ordure que ce M qui lui n’est pas fatigué. Alors que j’embarque D sur la houle de ma langue dans son con, ce salopard prends les devants, ou plutot le derrière. Après moult sir con’volutions, il se cale sur son petit. Je le vois pousser fort à l’embouchure de la chair de D qui se blanchie se lisse, s’étire se presque déchire. Prenant son temps, il repasse se gorger de mouille, de caresse puis reprend son ass faire. Je sens une vibration criarde quand enfin son gland pousse la porte et disparait dans le fondement de D. J’ai l’impression que l’anneau de ses entrailles est lumineux tellement il est lisse et brûlant. Un tremblement de terre parcours tout le corps de D, et je m’enlise dans les sables mouvant de son con.
Vendredi
Vais-je pointer aux abonnés absents ? oh non mais j’aurais peut-être dû. Je décide une fois de plus de pointer aux but ou plutôt aux futs de D.
Samedi Dimanche.
M est inapte au service, et je n’ai plus de batterie pour le remettre en marche. Peu importe aujourd’hui nous partons D et moi voir P et O pour le week-end, dans leur coin perdu de paradis, jouer au bridge, petits ponts, aux yatze bataille rangé en carré.
la fin de semaine s’annonce difficile.
Idem !