Suppliante

Que je vous aime ainsi anoblie
Sur ce chemin de suppliante
Où nos âmes en furieuse folie
Battent d’une ferveur indécente

Chère et fière catin de mon cœur
Roulez moi ce patin tortueux
De gloss fiévreux, et des senteurs
de votre foutre en paradoxes poisseux

Faite rougir ces indécentes parodies
déviées en ces infames paraboles
Et débauchez ces résilientes infamies
Sur la thèse de trémulantes oboles

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