Abducsillon

Oh ouverte comme ça,
Comme ce choix
Indécis de cette mesure
De cette souplesse,
De ton esprit de cordée,
De piété, de fervante
Oh oui laisse moi voir
Plonger
Dans tes yeux là
De ton obstiné
De ta volonté
De ton consacré,
De ton sacré coeur
De ton qui bat
De ton nubile volubile
De ton contenu
De ton qui lustre,
Fort s’égoutte, s’écoule
S’écroule en tremble
Entre les lignes de
Mes doigts qui braillent
A ton cri d’en corps
Oh oui Laisse moi plonger
Dans l’insolence de tes
Seins, de ton ventre
de ton cul, et
De tes yeux de toi si
Souple et pourtant
Si dure
À l’attache

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