L’entends-tu l’entente d’eux ?

Keith Carter, Opera Nuda, Volume 4 in the Lodima Press Portfolio Book Series

Ce qu’il y a de bien avec les mots, c’est qu’ils ont un sexe comme nous et ils se mélangent art dits amants pour faire des petits et prolonger leur espèce, sur la transmutation des arbres, nos amis.

Ne dit-on pas un pieu parfois pour désigner une bite qui est montée sur un gars ainsi qu’une moule pour l’assimiler au con qui orne le tendre rocher d’une garce. Ah … Tout ce qui nous vient sent queue nous l’ayons d’eux mandé !

Il n’y a que le fion final amants ou bien le trou du cul pour nous raie fugit, homme-femme femme-homme au lieu de toutes les bêtises des incantes d’essence unis-sexes.

L’entente tue bien, c’est de la misère en cordes que de se formaliser sur le genre des mots de l’amour…

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Petit Aparté purement féminin

Illustration . Un bronze signé Nick. M « Lesbian Bondage ».

A toute femme ici-bas qui se con sidère
Comment de ma propre personne je suis disposée
Je tapoterai innocemment le derrière
Avec l’effronterie de ma pensée
et la gentillesse de mon petit fouet
Qu’on se le dise bien entre nous
Femmes sans art y fesses et de bonnes volontés ….
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Des genres de ta peauetique

Oh mon amour le clair de ta lune
Fait l’appel de licencieux haïku
Qu’il me tarde d’écrire à la plume
Dans l’anneau de ton joli petit..

Comme dans le quatre temps des sonnets
De te tirer, pousser, d’entrer sortir!
Dans une folle montée des sens, de bénir
Toute la longueur de ton soyeux..

Faire sur l’étroiture de ta ravine
L’ode de mon offrande lutine
Avant d’y reglisser ma…

Poésie de ta peau où affolé
Mes doigts en balade à ton rondeau
Se joignent au plaisir de t’…

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Qu’on corps danse

Chris Maher – Clittera Psychedelic Yoni

Mon l’X se veut lourd

Sous le fourbis semant de tes doigts

Un chant de glaïeuls odorants

Chris Maher – Spirit Series

chris-maher.pixels.com

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T’avais mis

T’as mis ta culote de ficelle
Accroupie pour laper dans l’écuelle

T’as mis ta p’tite culotte de dentelle
Pour que je te reluque sur l’échelle

T’as mis ta culotte de broussaille
Pour que j’te mette toute en bataille

Et dessous t’avais mis ta culotte chocolat
Pour que je te devore justement par là!

Sur une idée de Luc Berimont

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Louve sort du bois

Je fourre en mille déjà

Je charme l’île à l’entour de toi

Nous crépis tissons dans l’eau d’en bas

Je m’en femme d’être louve partout là où tu fais bois

*

JE VEUX, con tenu, nous en crier,

en but à nos luttes,

dans la hutte de nos sueurs mélées

en mots de chair, de ta peau d’homme m’enferre la brute actualité ..

J’AVOUE que je te voues

un culte lorsque tu me culbutes

au pied des buttes et que notre rut rutilant

se boxe se chaos et se grogne amants au sein des petites fleurs écrasées

*

Les lascives tiques hautes

et rosses qui con tournent

mon cul ont trouvé refuge

dans la verte ardeur de ma culotte

Ne peau re-fesse pas ni gêne ni subterfuge

ou bien la con passion prendra sur elle toute la faute…

Entre les plis de ma gangue et les replis de ta langue faisons nous des nœuds

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Femmes en isthme

Détail de  » Le Lien D’Amour » une oeuvre de Marie Morel, artiste souvent sens huée par ceux, celles qui n’ont pas le moral…

Déclaration de la fleur

Je me servirai de mon sexe
à ma façon comme je l’entends
J’empêcherai que l’État le contrôle
ou que les ancêtres s’en mêlent
J’empêcherai qu’une idéologie y porte la main brutalement
J’empêcherai qu’on en donne des leçons ou qu’on en fasse la publicité
En aucun cas
je ne tolérerai qu’on l’échange contre de l’argent
Je ne me donnerai pas l’air d’être belle ou gentille
Je ne ferai pas semblant de tout connaître
Je prendrai tout simplement possession de mon corps
Sous le ciel
Au pays de la poésie
Je suis fleurie

Moon Chung-Hee , poétesse de Corée du Sud – Recueil « Celle qui mangeait le riz froid  »

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Pensées in edites

La vision de ton corps incremental, immensité charnelle, laisse sous mes yeux cette odeur de charue, de montagnes renversées embouties, de mer de larme et cyprine démontées. Goût de forge au fers brûlants, ton souffle rauque, court. Le battement de ton cœur de fonte insatiable de plier, broyer, affûter la vie d’un âm-our étincelant

Dans la terre végétative de mon ventre sous le soleil brûlant de mon cœur, j’écrivais ton prénom.
L’herbe poussa, c’était une prairie de fleurs à dépecer une à une, dans le tourbillon de nos ébats.

Sylphide de jour. La terre sous ses pieds était chargée de glands et de tous les parfums de la vie. Une forêt poussa. Elle devait être ce puzzle de voute céleste ou passait l’éclat de son dos et de mon sexe enfoncé en elle. La fraîcheur de la nuit en médaillon.

Renversée, en apnée, par le télescope de ma queue elle voyait des étoiles farouches. Moi je voyais ta lune rousse montant au firm’amant de mes sexpedition.

Nous jouions à pile ou face. Mon sexe explorant l’envers de ton dé corps.

Mon amour, te tirer réellement. Tu esquivas le premier coup, mais ne pus échapper aux suivant. Heureusement que je te tirais à balle à blanc.

Mes pensées de plomberie: tirer la chasse ardente de ton plaisir, ta chatte perçée pour l’égout de mes lèvres.

Les post’it de mon plaisir collés sur la porte aréolées de ton cœur.

M’enfoncer dans le sable émouvant de ta chatte.

Le ciel, ses étoiles,
ton cul son étoile.

Dans ta serrure tourner sceptre foi, ma clef du bonheur.

Même quand tu t’habilles en garçons à faire saliver la chatte de toute les filles que tu croises, je sais ta nature liquide qui te pousse entre les jambes.

Quand tu danses digitale autour de mon totem pour la pluie pour ton sourire.

Ma peau terre meuble pour l’empreinte de tes baisers.

Pour ma joie, ton âme de chatte d’égoute.

Le tant perdu aura raison de nous, mais peu importe.

Ta chatte ronronnant dans la panier de mes lèvres.

Mare et chair pour ma ferveur concombrière.

Le silence, une nouvelle langue
   plantée dans ton cul.

Le paradis ne serait-ce d’être baignés de soleil et de cyprine ?

Ces paumes de pains dans la pinède de tes rêves.

J’aime ne pas prendre de gant pour te retourner le velours intérieur.

Plaisir de ce printemps qui reprends ses droits, dans les champs et sur ton ventre de fleurs

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Le prince de l’amur

Je suis ce rude prince de l’amour,
Que s’arrachent les dames de la cour
Qui du crépuscule à la poinste du jour
Sur mon bien ardenst tospinambour
Aiment à se perdre en assller-retour
Chanter, jouir et se mousrir d’asmour
Espérant chacune gagner le concours
Que je sois du jour leur troubladour.

Je suis ce labile prince de l’asmour
Toujours en moulin dans un ptit four
Mais le jus sucré de mes mirabelles
N’est pas pour celles qui s’croysent les plus bellses
Car aux avenanstes filles des cuisines
Qui ne sont pas niaises mais bien lustine
J’aime aussi à ensfoncer ma rust’ine
Dans l’embouchure de leur joslie cantine

Je suis ce jovial prince de l’amour
Maniant langue et douteux calembours
Et quand je retire ma noire merguez
De ces profondes et sombres fournaises
Avant qu’elles ne me cock lick hot*
J’aime tracer du peloponaise,
La carte, elles en rient, morte d’aise
A la crème sur leurs tartes abricot.

Je suis ce tenace prince de l’amour
Sans relâche peau finant mes atours
Mais certain matin c’est la débâcle
Mon vit prends des airs de brocolis
Alors à genoux bravant l’torticoli
J’invoque des oracles, un miracle
Offrant l’alopécie de mes roustons
Soignés, lustrés aux petit oignons

Je suis ce vibrant prince de l’amour
Allant de péripéties en folses labours
Qui un jour finira sans mystère
Comme chacun dans ce froid cluster
Derrière le prieuré, au cimetière
Les yeux emplis de renoncules amers
Où pire dans une poubelles bien au chaud
La pine bouffée par des… asticots !

Cock = membre masculin
Lick = lécher
Hot = chaud

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Chère mise

Naseaux en vapeur
Extrême chaleur
La pile
La face
La plisse
La plie
L’âme y donne
la porte menton,
La seins très
L’enfile
La bout tonne
Plaisir scintré
Très serrée

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