La vision de ton corps incremental, immensité charnelle, laisse sous mes yeux cette odeur de charue, de montagnes renversées embouties, de mer de larme et cyprine démontées. Goût de forge au fers brûlants, ton souffle rauque, court. Le battement de ton cœur de fonte insatiable de plier, broyer, affûter la vie d’un âm-our étincelant
Dans la terre végétative de mon ventre sous le soleil brûlant de mon cœur, j’écrivais ton prénom.
L’herbe poussa, c’était une prairie de fleurs à dépecer une à une, dans le tourbillon de nos ébats.
Sylphide de jour. La terre sous ses pieds était chargée de glands et de tous les parfums de la vie. Une forêt poussa. Elle devait être ce puzzle de voute céleste ou passait l’éclat de son dos et de mon sexe enfoncé en elle. La fraîcheur de la nuit en médaillon.
Renversée, en apnée, par le télescope de ma queue elle voyait des étoiles farouches. Moi je voyais ta lune rousse montant au firm’amant de mes sexpedition.
Nous jouions à pile ou face. Mon sexe explorant l’envers de ton dé corps.
Mon amour, te tirer réellement. Tu esquivas le premier coup, mais ne pus échapper aux suivant. Heureusement que je te tirais à balle à blanc.
Mes pensées de plomberie: tirer la chasse ardente de ton plaisir, ta chatte perçée pour l’égout de mes lèvres.
Les post’it de mon plaisir collés sur la porte aréolées de ton cœur.
M’enfoncer dans le sable émouvant de ta chatte.
Le ciel, ses étoiles,
ton cul son étoile.
Dans ta serrure tourner sceptre foi, ma clef du bonheur.
Même quand tu t’habilles en garçons à faire saliver la chatte de toute les filles que tu croises, je sais ta nature liquide qui te pousse entre les jambes.
Quand tu danses digitale autour de mon totem pour la pluie pour ton sourire.
Ma peau terre meuble pour l’empreinte de tes baisers.
Pour ma joie, ton âme de chatte d’égoute.
Le tant perdu aura raison de nous, mais peu importe.
Ta chatte ronronnant dans la panier de mes lèvres.
Mare et chair pour ma ferveur concombrière.
Le silence, une nouvelle langue
plantée dans ton cul.
Le paradis ne serait-ce d’être baignés de soleil et de cyprine ?
Ces paumes de pains dans la pinède de tes rêves.
J’aime ne pas prendre de gant pour te retourner le velours intérieur.
Plaisir de ce printemps qui reprends ses droits, dans les champs et sur ton ventre de fleurs